Considérée comme une mesure de dernier recours pour empêcher l’effondrement du gouvernement de coalition sud-africain, le ministre des Finances, Enoch Godongwana, a abandonné jeudi une augmentation controversée de la TVA.
Cette décision intervient alors que le deuxième parti d’Afrique du Sud, l’Alliance démocratique (DA), menace de quitter la coalition gouvernementale en raison de cette hausse de la TVA.
L’Alliance démocratique a fait valoir que cette taxe serait particulièrement pénalisante pour les ménages les plus fragiles du pays.
L’Afrique du Sud a connu des difficultés économiques ces derniers mois, la population étant confrontée à une hausse du coût de la vie et à un taux de chômage atteignant actuellement 32 %.
La proposition initiale de Godongwana concernant cette hausse de TVA aurait entraîné une augmentation d’un point de pourcentage de la TVA sur deux ans.
Cette mesure visait à renflouer les caisses de l’État et à financer des secteurs cruciaux comme l’éducation et la santé.
Grâce à cette taxe, soutenue par le Congrès national africain (ANC), le gouvernement aurait comblé 75 milliards de rands manquants dans son budget.
Le ministère des Finances a confirmé que la TVA resterait à son niveau actuel, soit 15 %.
L’Afrique du Sud réduit drastiquement sa hausse de TVA suite au refus de l’Alliance démocratique
Considéré comme une mesure de dernier recours pour empêcher l’effondrement du gouvernement de coalition sud-africain, le ministre des Finances, Enoch Godongwana, a abandonné jeudi une augmentation controversée de la TVA.
Cette décision intervient alors que le deuxième parti d’Afrique du Sud, l’Alliance démocratique (DA), menace de quitter la coalition gouvernementale en raison de cette hausse de la TVA.
L’Alliance démocratique a fait valoir que cette taxe serait particulièrement pénalisante pour les ménages les plus fragiles du pays.
L’Afrique du Sud a connu des difficultés économiques ces derniers mois, la population étant confrontée à une hausse du coût de la vie et à un taux de chômage atteignant actuellement 32 %.
La proposition initiale de Godongwana concernant cette hausse de TVA aurait entraîné une augmentation d’un point de pourcentage de la TVA sur deux ans.
Cette mesure visait à renflouer les caisses de l’État et à financer les secteurs cruciaux comme l’éducation et la santé.
Grâce à cette taxe, soutenue par le Congrès national africain (ANC), le gouvernement aurait comblé 75 milliards de rands manquants dans son budget.
Le ministère des Finances a confirmé que la TVA restait à son niveau actuel de 15 %.