Le gouvernement guinéen, via son porte-parole, a abordé la peine de deux ans de prison accordée à Aliou Bah, le chef du parti modèle (Moulement démocratique libéral), pour avoir prétendument «offensé» le président Mamadi Doumbouya.
Siaka Barry, président du parti MPDG, a déclaré: «Les« Forces Vives »ont déclaré qu’ils ne reconnaissent pas la junte à la suite de la conclusion de la période de transition de deux ans, qui s’est terminée le 31 décembre. Nous comprenons leur position, mais la La réalité est que la junte reste au pouvoir et au contrôle.
Alors que certaines personnalités politiques critiquent la «manipulation du système judiciaire» et le qualifient de «procès politique» visant à mettre à l’écart des voix dissidentes, le porte-parole de l’exécutif guiné insiste sur le fait qu’une ligne claire doit être établie entre la critique et la diffamation, qui, selon lui, est « sous réserve de conséquences juridiques. »
Siaka Barry a en outre fait remarquer: «Actuellement, rien n’a changé. CEDEAAS ne répond pas. Il est silencieux et inactif. Nous ne percevons pas sa présence. C’est pourquoi nous exhortons la communauté internationale à intervenir et à s’engager avec toutes les parties pertinentes afin que nous puissions collaboration et collaborative Redéfinissez inclusivement les prochaines étapes de la transition. »
Le ministre des Transports a noté qu’en Guinée, aucun chef politique n’a été exilé pour avoir exercé une «liberté d’expression» ou pour «critique».
Siaka a ajouté: « Aujourd’hui, la liberté d’expression est une ressource rare dans notre nation. Les gens ne peuvent plus parler ouvertement. Comme quelqu’un l’a fait remarquer, alors que nous pouvons avoir le droit de nous exprimer, nous ne sommes pas garantis en matière de sécurité après cela. Aliou Bah illustre cette situation aujourd’hui. »
Les Forces Vives de Guinée avaient précédemment averti qu’elles ne reconnaîtraient pas les autorités actuelles après le 31 décembre, marquant la fin de la période de transition.