Le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) s’engage à réduire le coût du vaccin contre le paludisme.
Ce nouvel accord améliorera considérablement l’accès au vaccin R21/Matrix-M et son abordabilité, contribuant ainsi à protéger davantage d’enfants contre l’une des maladies les plus meurtrières au monde, selon l’UNICEF.
Le prix du vaccin, abaissé à environ 3 dollars, devrait entrer en vigueur d’ici un an. Cet accord, soutenu par Gavi et mis en œuvre par l’UNICEF, générera plus de 90 millions de dollars.
Ces fonds permettront de produire 30 millions de doses supplémentaires et de vacciner 7 millions d’enfants supplémentaires contre le paludisme au cours des cinq prochaines années.
À ce jour, plus de 40 millions de doses de vaccin contre le paludisme ont été distribuées dans le cadre du Programme de vaccination contre le paludisme de Gavi. Elles font désormais partie de la vaccination systématique dans 24 pays africains qui, ensemble, représentent plus de 70 % de la charge mondiale du paludisme.
En 2023, on estimait à 263 millions le nombre de cas de paludisme et à 597 000 le nombre de décès dans le monde, soit 11 millions de cas de plus que l’année précédente.
Environ 95 % des décès, principalement chez les enfants de moins de cinq ans, sont survenus en Afrique, où de nombreuses personnes n’ont toujours pas accès aux soins préventifs et aux traitements de base.
Dans de nombreux pays fortement touchés, le paludisme représente la principale cause de consultations hospitalières, engendrant des coûts importants pour les familles et les systèmes de santé.
L’Organisation mondiale de la Santé estime que le traitement d’un cas non compliqué en Afrique subsaharienne coûte entre 4 et 7 dollars américains par consultation externe, tandis que les cas graves nécessitant une hospitalisation peuvent dépasser 70 dollars américains.
En 2023, on estimait à 263 millions le nombre de cas de paludisme et à 597 000 le nombre de décès dans le monde, soit 11 millions de cas de plus que l’année précédente.
Environ 95 % des décès, principalement chez les enfants de moins de cinq ans, sont survenus en Afrique, où de nombreuses personnes n’ont toujours pas accès aux soins préventifs et aux traitements de base.
Dans de nombreux pays fortement touchés, la maladie représente la principale cause de consultations hospitalières, engendrant des coûts importants pour les familles et les systèmes de santé. L’Organisation mondiale de la Santé estime que le traitement d’un cas non compliqué en Afrique subsaharienne coûte entre 4 et 7 dollars américains par consultation externe, tandis que les cas graves nécessitant une hospitalisation peuvent dépasser 70 dollars américains.




