LE CAP, 2 juillet (Reuters) – La major pétrolière française TotalEnergies, ouvre un nouvel onglet, a notifié au régulateur pétrolier sud-africain son intention de se retirer de son champ gazier offshore 11B/12B, mais n’a pas encore soumis de demande officielle pour ce faire, a-t-on appris de source à Petroleum Agency SA, a déclaré.
TotalEnergies a découvert la première de deux grandes découvertes principalement gazières dans le bloc 11B/12B au large de la côte sud en 2019, et ce retrait est un revers pour l’Afrique du Sud qui misait sur le gaz pour alimenter potentiellement une raffinerie nationale de gaz-liquide inactive à Mossel. Baie.
Les négociations sur le prix du gaz sont au point mort depuis des années, tandis que TotalEnergies a investi massivement pour explorer la Namibie voisine, un hotspot mondial d’exploration depuis que TotalEnergies, Shell, ouvre un nouvel onglet et Galp, ouvre un nouvel onglet et réalisent de nouvelles découvertes.
« La principale raison (du retrait) est l’incapacité de garantir un marché pour le gaz », a déclaré mardi la source à Reuters.
« Ils n’ont pas retiré leur demande de droit de production (sur 11B/12B) », a ajouté la source, qui n’était pas autorisée à parler aux médias.
TotalEnergies n’a pas répondu dans l’immédiat à une demande de commentaire.
Bloomberg a annoncé la nouvelle mardi.
TotalEnergies s’est associé à QatarEnergy en mars pour acquérir une participation dans un permis de recherche de pétrole et de gaz sur la côte ouest de l’Afrique du Sud, dans le cadre du projet de développement du bassin d’Orange en Namibie.
Le prolifique bassin d’Orange, où la plupart des découvertes pétrolières de Namibie ont été réalisées, s’étend vers le sud dans les eaux sud-africaines.